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  • Véronique Rauzy

RENONCER À LA GUERRE




La Douceur est une alliée formidable comme antidote à la peur et déconditionnement du guerrier. Elle s’avère la manière optimale de déployer la Puissance dans nos vies.


Pour accomplir la transition vers le nouveau paradigme, nous devons modifier profondément nos structures psychiques et les programmations qui nous animent à notre insu. Un des gros conditionnements qui nous enchaînent est l’obligation d’être en guerre, pour récolter de l’énergie car nous croyons que l’énergie est une ressource externe que nous devons conquérir.


La guerre est un état de discorde duel, dégénérant en conflit et en rapport de forces visant à déterminer un gagnant et un perdant, avec l’enjeu d’un gain de ressources énergétiques.


On distingue le temps de guerre – du conflit intérieur qui nous agite, nous irrite et nous mobilise, se prolongeant ensuite à l’extérieur – du temps de calme, paix, tranquillité, disponibilité.


« La guerre » en tant qu’égrégore astral veut capter notre attention, notre énergie, notre temps et potentiellement notre vie. Nous avons été conditionnés, nous sommes plein d’un mensonge qui nous écarte de notre véritable nature humaine, et il est temps de cesser ce jeu qui nous bride et d’accéder à notre potentiel et notre œuvre.


À un moment la guerre n’est plus une option adaptée. Les armes sont déposées pour aborder une nouvelle traversée, de manière différente, dans laquelle la Douceur est la voie de Puissance.


La Douceur permet le changement de référentiel, de types de réponses, elle désamorce la guerre. Résolution et ressource, elle est le pivot de la viabilité, de la possibilité d’être en vie, et pas en mort/survie. Avec elle nous récupérons l’intégralité de notre énergie, de nos motivations, et nous pouvons enfin œuvrer en réception directe de la Source qui nous anime.


Nous révisons alors les « bonnes raisons », et si elles sont encore validées par la conscience élevée, nous trouvons la manière adéquate de les soutenir, sans violence et sans attaquer ni dedans ni dehors.


Dans les différentes parties de ce texte je vous propose de découvrir la programmation du guerrier dans ses différents aspects :

– le programme de guerre ;

– le conditionnement social du guerrier ;

– la valorisation du guerrier ;

– les jeux de pouvoir ;

– le conflit interne ;

– la dynamique du conflit dans l’alchimie intérieure ;

– l’autosabotage ;

– la guerre dans les relations ;

– la carapace.



LE PROGRAMME DE GUERRE


Je vous propose de débusquer tous ces schémas psychiques qui nous forcent à réagir à notre insu, hors du Cœur, de la justesse et de la simplicité, qui nous décentrent et nous font voir l’existence comme une lutte sans merci.


Pourtant, le seul ennemi réel est le programme astral de guerre qui influence notre expérience malgré nous, et pour sortir du vieux paradigme il nous faut désactiver l’entièreté de ce programme, dans tous les multiples aspects qu’il a infiltrés et mis sous contrôle.


« La guerre » est le plus gros programme d’enfermement dans la matrice binaire. C’est un égrégore directement relié à la pulsion de mort, de destruction, de pouvoir-sur. Il génère sa polarité inverse : la survie, le refus de l’expérience, l’impuissance.


Idées-clés à déceler en nous, puis nous en délester :

– la loi du plus fort ;

– la loi du Talion ;

– la part du Lion ;

– la meilleure défense, c’est l’attaque ;

– l’histoire est écrite par les vainqueurs ;

– l’obéissance à une autorité extérieure ;

– les amis de mes ennemis sont mes ennemis (à tournicoter dans tous les sens possibles) ;

– seul contre tous ;

– je dois me battre pour y arriver ;

– je dois me battre pour mes idées ;

– je dois prendre ma place ;

– je suis toujours dans le camp des « gentils » et me bats contre le camp des « méchants » ;

– l’herbe est plus verte chez le voisin.


L’inconscient collectif humain est envahi par la logique guerrière, à tous les niveaux. Nous avons été dotés à notre insu de lunettes avec le filtre de la guerre contre les autres. Dans ces lunettes, dénigrement de la Douceur et déni/incompréhension de ce qu’elle est véritablement. Et le Cœur se referme toujours plus…


La structure guerrière crée des stratégies plus ou moins conscientes pour se défendre, gagner des territoires, affermir sa place, dominer les autres. Elle est basée sur la peur. La programmation induit des schèmes de pensée qui créent des circuits en nous, des grilles de lecture de la réalité et des réponses réactionnelles types. Énormément d’énergie et de temps sont dispersés et dépensés à la guerre à toutes les échelles.


LE CONDITIONNEMENT SOCIAL DU GUERRIER


Le conditionnement à la guerre est ancré à tous les niveaux de la société. Voici quelques exemples, mais cette liste est incomplète (et je parlerai plus loin de la guerre interne et des relations intimes) :


* Notre vision de la santé (le belliqueux Pasteur ayant triomphé sur l’expérimentateur Béchamp), assimilant les microbes, les maladies et le système immunitaire à des armées se livrant des guerres sans merci…


* Le dogme biologique de la sélection naturelle darwinienne.


* La scolarité qui ressemble tant à une armée avec la normalisation ; le système de notes et de classement ; l’apprentissage à l’obéissance à la hiérarchie ; la tentative d’uniformisation des élèves ; le formatage des corps aux horaires, aux disciplines, aux consignes.


* L’organisation du travail déshumanisée, avec les (n+1), les chaînes de déresponsabilisation, les pyramides de pouvoir, les tâches absurdes ou délétères.


* Les clans, les bandes, les gangs, avec leur impératif de loyauté.


* Les « guerres de chapelles » opposant toutes sortes de structures similaires qui gagneraient pourtant à s’unir et se fédérer.


* les pressions des normes esthétiques sur les corps féminins, des performances sur les corps masculins.


* La propagande médiatique générant la méfiance généralisée, la défiance d’autrui, le repli sur soi (son territoire, ses positions) ; cherchant à provoquer la mobilisation guerrière.


* L’enrôlement, la mobilisation à des causes extérieures, grâce à de la manipulation mentale et aux leviers de l’émotionnel et de la « bonne conscience ».


* L’utilisation de bouc-émissaires (par exemple, les immigrés clandestins), la désignation d’ennemis au niveau collectif, ou de causes communes fabriquées exprès.


* Les violences policières et les coercitions de lois contraires à l’équilibre harmonique.


* Les réponses militantes d’opposition à des mesures injustes, toujours dans le « contre » et encore incapables de proposer des alternatives collectives et sociales viables et respectueuses du vivant.


* Le sport et le jeu avec les concours, la compétition, la nécessité d’un gagnant et de perdants, le classement, les supporters, la valorisation du vainqueur.


* Les jeux vidéos, films et romans glorifiant la prédation, la violence et l’épouvante.


Les figures typiques de la guerre :

– le bon petit soldat ;

– le lieutenant zélé ;

– le pillard sans scrupules ;

– le héros luttant contre les injustices ;

– le stratège ;

– le traître ;

– l’ennemi ;

– le franc-tireur ;

– l’avant-garde ;

– la base arrière ;

– le repos du guerrier ;

– les dommages collatéraux ;

– les prises de guerre.


Tout ceci fournit un canevas, un cadre, des modèles et des références à la psyché pour appréhender les situations vécues, s’aligner sur une « normalité » et choisir des réponses/réactions découlant de cet égrégore.


LA VALORISATION DU GUERRIER


« La guerre » s’appuie de nombreuses « raisons » pour nous faire entrer dans son système :

– l’avidité (envie, jalousie), compétition par peur du manque ;

– le ressenti d’injustice et besoin de redresser les torts ;

– les revendications, attentes, réclamations ;

– le besoin d’avoir raison, le dernier mot ;

– les oppositions ;

– les jeux de pouvoir ;

– la lutte pour une place, un territoire, un poste, une sphère d’influence.


Les « raisons » de partir en guerre sont innombrables, selon les structures des personnes et leurs mémoires, mais généralement il est présenté une « bonne raison », une justification, et le guerrier est valorisé, associé au héros (souvent justicier), courageux, fort, loyal, etc. Idée que la combativité est nécessaire à la réussite.


Même dans les milieux à prétention ascensionnelle on retrouve le « guerrier de lumière », les « flottes intergalactiques », le « guerrier pacifique ».


Pour certains, c’est une révolution interne bouleversante de déboulonner la guerrière et le guerrier, tant considérés comme précieux et nécessaires pour défendre le vivant (les gardiens de la terre), pour faire bouger les lignes (les rebelles), pour protéger les acquis (les défenseurs des droits), pour lutter contre l’oppression (les résistants). Il nous faut détacher l’image du héros de celle du guerrier.


LES JEUX DE POUVOIR


Les jeux et enjeux de pouvoir occupent une place centrale dans le paradigme de prédation, auquel appartient « la guerre ».


J’ai parlé dans de nombreux textes des trois pulsions principales qui nous animent inconsciemment : la pulsion de vie, la pulsion de mort, la pulsion de survie.


Les jeux de pouvoir sont le jeu duel entre mort et survie, « pouvoir-sur » versus « impuissance ».


Tester son « pouvoir-sur », assimilé au fantasme de toute-puissance, au pouvoir de destruction des formes, de test de la résistance de la matière, est une phase de la construction psychique qui correspond à l’adolescence, encore dans l’irresponsabilité.


Cette pulsion pousse à vouloir contrôler et manipuler les autres, les formes, les situations ; à expérimenter sa capacité d’influence, de charisme, d’emprise. Selon les polarités elle s’exprime de deux manières :

– Faux Yin : manipulation, stratagèmes, instrumentalisation, chantage, fausse bonne intention, culpabilisation ;

– Faux Yang : agressivité, violence, coercition, défoulement, rapport de forces.


Pulsion à tester son « pouvoir-sur » les autres. Et en réponse, pulsion à réagir à cet acte considéré comme une attaque : chaîne de causes et conséquences amorcée et débouchant sur la guerre.


Il nous faut admettre, reconnaître l’activité de ce programme en nous, l’amener à la conscience pour pouvoir le désactiver peu à peu, nous en extraire, et surtout apprendre à canaliser cette pulsion pour la mettre au service du vivant.


Le voir en nous, dans notre psyché et ses conflits, fonctionnements, dans nos relations, dans notre vision du monde, nos analyses, nos croyances sociales, nos réactions émotionnelles et obsessives.


LE CONFLIT INTERNE


Le conflit interne est un duel qui se joue dans la psyché, qui nous met en tension, sous pression et qui empêche l’énergie de circuler correctement en nous, l’accaparant et la tordant. Certains conflits sont chroniques et compensés par un arrangement, un compromis (ce qu’on appelle une névrose) ; d’autres sont aigus et débouchent sur des crises profondes ou des décompensations psychotiques. Le conflit peut être fécond en ce qu’il nous permet de changer d’équilibre, d’avancer, d’évoluer vers plus de conscience, de présence et de puissance ; ou bien délétère quand au contraire il nous enlise et nous kidnappe dans un cercle vicieux.


La pulsion de mort est utile quand, bien canalisée, elle nous permets de déconstruire les conditionnements, les formes obsolètes. La pulsion de mort n’est pas « mal », intrinsèquement mauvaise, c’est son accaparement par des égrégores qui crée les troubles en nous ET quand elle prend la première place pulsionnelle au lieu de rester auxiliaire, subordonnée à la pulsion de vie.


Le conflit est aussi une dynamique initiatique : il participe au processus d’alignement qui demande d’affronter un rapport de forces, nous menant vers la responsabilité et la maturité. Nous y acquérons la capacité au consentement : poser un vrai oui et un vrai non ; au discernement, qui permet de nous fier à la justesse de notre boussole interne et à nous distancier de la réactivité ; à l’expression de notre souveraineté . Ici l’archétype de l’archange Michaël se présente comme guide et soutien. Maître de l’équilibre des forces, souvent présenté avec une épée qui tranche le vrai du faux et une lance qui terrasse le dragon = qui maintient les forces pulsionnelles à leur juste place.


LA DYNAMIQUE DU CONFLIT DANS L’ALCHIMIE INTÉRIEURE


Dans notre élaboration interne, il nous faut comprendre la juste place à réserver à la guerre. Elle correspond à l’œuvre au noir, cette phase d’alchimie interne où nous osons nous aventurer dans les méandres de l’inconscient, faire face, nous confronter aux motifs cachés et récolter les trésors qui deviendront nos futures ressources. Nous y affrontons les ombres, les secrets, le refoulé, les interdits, les passions, les désirs, les conditionnements, et nous transmutons peu à peu ce chaos grâce à l’embrasement du Feu du Cœur, le sublimant, le raffinant, l’élevant jusqu’à clarifier notre intérieur et nous consacrer à une nouvelle phase : l’œuvre au blanc avec la possibilité de la synthèse.


L’œuvre au blanc nous permet de traiter le conflit intérieur dans la Douceur.


Conflit exprimant une dissonance entre deux zones de la psyché, qu’il s’agit de neutraliser et d’harmoniser.


Tout d’abord la tension interne du duel est ressentie avant d’être comprise. L’ouverture d’un dialogue permet de laisser exprimer ce qui veut se dire depuis chaque partie tendue, thèse – antithèse (dans la mesure où cela s’est cristallisé en conflit), puis de trouver la voie de synthèse, la concorde qui harmonise et résout.


Pour cela, appel à des acteurs internes : tout d’abord l’écoute des parties par un médiateur – observateur impartial et non impliqué –, puis dans un deuxième temps appel à un plus haut niveau de conscience pour proposer une issue, une sortie de crise féconde car innovante, porteuse d’une solution nouvelle, inspirée par la concorde, par l’Un.


Débute alors l’œuvre au rouge. Chaque conflit résolu devient une ressource nouvelle disponible, la réalisation d’un potentiel. Les conflits intérieurs ne sont plus des démons à combattre ou cacher mais des trésors à dévoiler et œuvrer pour les ciseler. Les nouvelles compréhensions sont mises à disposition pour élaborer de nouvelles formes dans l’expérience.


L’AUTO-SABOTAGE


Quand la guerre n’est plus nécessaire, elle doit être déprogrammée afin de ne pas parasiter la nouvelle phase. Quand elle outrepasse ces contextes, elle n’est plus une étape nécessaire mais devient un tyran qui nous emprisonne et nous maintient sous emprise.


La guerre devient pathologique quand elle se retourne contre nous-même, entrave notre expérience et renie notre véritable essence. Quand elle n’est plus un outil, une manière de nous aider à nous positionner, mais qu’elle devient de l’auto-sabotage et prend une place prépondérante dans la psyché. La pulsion de mort s’installe alors en première place et occulte la pulsion de vie.


On la retrouve dans la dureté, la rigidité, le dénigrement de soi, le perfectionnisme, le jugement, le refus de ce qui est, la comparaison, l’alternance des sentiments d’infériorité et de supériorité.


Le saboteur interne ressasse le passé, ronchonne du présent et redoute le futur. Il ne se contente jamais du présent et baigne dans l’insatisfaction permanente.


C’est l’opposant systématique, qui voit le « mauvais » aspect des choses, le « verre à moitié vide », le regard du diable = qui divise, critique et rabaisse.


Tout cela crée une inflammation interne chronique, un mécontentement, une violence contre soi.


Souvent cela déborde à l’extérieur et génère des conflits relationnels


LA GUERRE DANS LES RELATIONS


Dans la guerre on se croit séparé et en danger. Frontières, armées, armes, armures, batailles, victoires et défaites… Peut-on identifier ce genre d’énergie en soi ? Où et quand et avec qui on joue à la guerre ? Au rapport de forces ?


Les relations les plus proches sont souvent le terrain de guerres larvées. Dans les familles, les fratries, les couples, les amitiés, les lieux de travail.


Jugement, reproches, vacheries, abus de pouvoir, revendications, forcer la main, chantage, sarcasmes, ironie, violence…


Les armes et tactiques sont parfois bien enrobées et camouflées sous la bonne foi, la bonne raison et la bonne intention… Nous nous bernons si souvent nous-même ! Il est impératif d’apprendre et savoir débusquer nos motifs cachés.


Qui sommes-nous pour vouloir changer l’autre, pour lui forcer la main, pour nous arroger le droit de lui mettre la pression et lui faire peser le poids de nos attentes et de nos besoins ?


D’où est-ce toujours l’autre le problème ? Soit celui désigné comme la source de nos problèmes, soit celui désigné comme ayant un problème… C’est quoi un problème ? Un os à ronger, un enjeu, un conflit interne qu’on a externalisé.


La guerre se cache dans toute l’instrumentalisation, l’exploitation de l’autre. Soyons lucides quant à nos projections, nos transferts, nos repoussoirs, nos miroirs et nos idoles !


Une attention particulière, dans les couples, à ne pas faire peser au compagnon/à la compagne le poids de nos propres attentes. Dans les relations parents/enfants, à permettre à l’enfant de vivre sa vie tel qu’il est et pas tel qu’on le projette ou le souhaite. Dans les couples séparés, de ne pas se déchirer avec les enfants comme enjeu et terrain de jeu. Dans les relations de travail ou d’amitié, de mettre à distance les conflits de place, la compétition, comparaison, envie, jalousie. Dans le rapport à nos parents, de conscientiser qu’ils ont fait du mieux qu’ils pouvaient avec les moyens dont ils disposaient…


Les relations sont parfois si violentes qu’elles poussent à blinder inconsciemment la structure psychique, à se forger une carapace.


LA CARAPACE


La carapace est l’ensemble des protections que nous avons installées autour de notre Cœur, de notre structure, de nos émotions, de nos pensées. Elle génère le repli, le recroquevillement à l’intérieur et la mise en place d’une barrière comme une armure afin de se protéger de l’extérieur. Elle tente de cacher la vulnérabilité, de nous insensibiliser pour ne pas vivre d’émotions empathiques ingérables, de présenter au dehors un masque froid, implacable, hors d’atteinte. Elle nous positionne sur la défensive permanente, avec une vigilance et un blindage d’acier. Elle est une forme issue de la pulsion de survie. Elle se révèle souvent par une dureté, une rigidité, voire une agressivité quand la stratégie choisie est « la meilleure défense, c’est l’attaque », mais parfois les apparences sont trompeuses et elle peut être bien masquée sous une apparence de douceur et de fluidité. C’est alors le déni interne, et l’action de paraître qui prévalent.


La mise en place de la carapace se fait au fur et à mesure, en réaction aux épreuves de la vie, aux difficultés que nous traversons. Mais elle n’est une bonne solution que provisoire : si elle se cristallise par peur de souffrir, de montrer des faiblesses et d’être désigné comme proie, elle nous coupe du mouvement de la vie.


Elle est constituée des mécanismes de défense et protections que nous avons mis en place en réaction dans une situation donnée, mais pas désactivés ensuite (en anticipation qu’une situation similaire viendrait à se reproduire). Cela nous verrouille, nous enferme et nous coupe de l’expérience de vie. Ce refus d’expérience par peur de souffrir bloque le processus d’évolution, nous dissocie du Tout, rétrécit la vision, restreint le champ de possibles et entrave le mouvement.



Puis, LA DOUCEUR : VECTEUR SCALAIRE


Et un texte complémentaire : VIVRE LA PAIX


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