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  • Véronique Rauzy

AU RYTHME DU CÅ’UR


L’Univers se vit comme alliance de mouvement, vibration, énergie, mélodie et rythme. Toute forme s’articule ainsi. Le rythme relaie l’harmonie cosmique, soutient la communion au sein de la grande pulsation de l’Univers. Il est le lien qui réunit toutes les parties singulières en cohérence dans le Tout.

Le rythme est la force cohésive qui structure et permet la continuité de la forme impermanente en proposant la trame cohérente sur laquelle la mélodie singulière va se révéler, sur laquelle l’énergie va circuler, sur laquelle la vibration va s'appuyer et sur laquelle le mouvement va se déployer.

Comment s’aligner sur sa justesse intérieure, c’est-à-dire son rythme réel harmonieux, et comment articuler les rythmes de différentes formes qui œuvrent à s’accorder ensemble ? Deux pistes fondamentales : en étant dans le moment présent, et en reconnaissant le Cœur comme l’unique centre viable pour impulser le juste rythme à l’ensemble. En comprenant que la présence dans le Cœur veille au bon équilibre et au respect des différentes parties. L’Alignement consiste à choisir d’ÊTRE toujours en cohérence depuis le Cœur. Le Cœur est le Portail vers l’Être essentiel, et la Porte d’Entrée de l’énergie Amour dans l’expérience.

MULTITUDE DES RYTHMES SINGULIERS

Nous sommes structurés, en tant qu’êtres humains, par une multitude de rythmes qui reflètent et régulent à chaque instant notre adaptation dans le monde de l’expérience où nous sommes incarnés. Chacun de nos corps-enveloppes est lui-même structuré sur un ensemble de rythmes propre et évolutif, des ondes ondulant dans des ondes. Notre expérience est celle d’une impermanence.

Nous avons des rythmes métaboliques qui structurent nos systèmes de circulation physique : les systèmes respiratoire, sanguin, nerveux, hormonal, digestif, immunitaire, lymphatique, tégumentaire, musculaire, osseux, articulaire, cellulaire, génétique (j’en oublie certainement)…

Selon notre constitution, notre âge, notre santé, nos choix de vie et d’activité, ces rythmes vont être ordonnés de manière différente pour chacun.

Nous avons des rythmes éthériques et des amplitudes vibratoires plus ou moins soutenus selon l’état de la circulation énergétique dans le corps, l’ouverture ou la fermeture des chakras, la santé de l’aura, l’éveil ou le sommeil de l’énergie de kundalini, l’ancrage, la connexion et le déploiement aux centres cosmiques et telluriques.

Nous avons des rythmes émotionnels que nous pouvons nous représenter par les mouvements marins. Selon les endroits de la Terre, les mers et océans sont plus ou moins agités par les vents et marées. Et dans ces endroits particuliers alternent mer d’huile et coups de grain. Pour les humains il en est de même, certains sont plus enclins à la placidité et d’autres au fracas émotionnel, et en eux les rythmes alternent aussi selon les expériences traversées. Au-delà de l’intensité de l’émotion ressentie, ce que je désigne ici comme rythme/fréquences concerne la qualité de l’émotion vécue. L’entrave rythmique principale est la peur, qui pour être parfois intense et combler celui qui est accro à l’adrénaline, provoque néanmoins un rythme chaotique et des fréquences très denses.

Nous avons des rythmes mentaux différents selon nos aptitudes et nos habitudes à nous servir prioritairement de certaines zones du cerveau. Par exemple, les rythmes de traitement de l’information ; d’acquisition des connaissances ; de capacité de formuler des synthèses, d’intégrer des solutions ; de nous connecter à l’intuition ; d’aptitude à prendre du recul dans une situation, à nous adapter aux changements, sont différents. Au niveau mental, le rythme est entravé par les croyances en nos limites, nos incapacités. Nous avons la faculté de créer notre expérience selon nos croyances. Si je me crois incapable de faire telle chose, je ne pourrai la réaliser. L’adage « tout est possible » prend ici toute sa valeur, comme clé permettant d’aller au-delà de l’ancienne limite mentale.

Nous avons des rythmes karmiques propres aux Âmes fragmentées en incarnation : les prises de conscience, les leçons que nous choisissons de venir vivre vibrent sur des rythmes plus ou moins soutenus. Selon nos choix d’incarnation et les grandes Forces qui nous animent, nous venons aussi au monde selon des configurations astrologiques qui vont déterminer, conditionner en grande partie nos rythmes.

Tout cela constitue nos programmes, notre « cadre » et nos contraintes. Mais en libérant le rythme, nous pouvons résoudre beaucoup de superflu.

LE CÅ’UR EST LE GARDIEN DES RYTHMES

De l’apparente complexité surgit l’extrême simplicité : en s’accordant dans l’instant avec Ce qui Est, l’être se syntonise sur le rythme global le plus adapté, sans avoir besoin d’y réfléchir. Plus l’être vibre en harmonie avec son espace intérieur puis extérieur, plus son rythme gagne en qualité et en capacité d’expansion vibratoire, le propulsant dans la Paix. Le taux vibratoire global s’élève à mesure que l’être humain s’identifie moins à la personne et se laisse ÊTRE.

L’exemple du corps physique, en fractal, nous offre la clé, la solution. Le cœur physique est le maître du tempo, du rythme dans le corps physique. Le cœur est le Grand coordinateur et le régulateur, le centre pulsatile qui diffuse le sang dans toute la structure, dans un rythme cohérent, et tous les organes, systèmes et parties du corps vont recevoir ce même sang distribué au même rythme. Après, eux vont se syntoniser, caler leurs rythmes propres, leurs fréquences et leur fonctionnement sur ce rythme commun. Le foie est différent de l’estomac, ils n’ont ni la même fréquence ni la même fonction, mais les deux vont réussir à se caler et fonctionner ensemble en se syntonisant sur le rythme issu du cœur.

C’est SON JOB de donner le meilleur rythme pour l’ensemble du corps, à un moment donné, selon l’ensemble des conditions réunies. Le Cœur est le gardien des rythmes : il donne le tempo pour la cohérence de l’ensemble.

Au niveau physique comme aux autres niveaux, émotionnels, mental, etc., en laissant le Cœur réguler la structure on rétablit la cohérence harmonique.

On peut aussi prendre l’image d’une onde qui se diffuse sur l’eau de manière circulaire. Le centre de l’onde est le cœur, c’est depuis ce centre que se déploient le rythme et le sang.

QUÊTE DE JUSTESSE

La justesse est caractérisée par le fait :

– de se placer au bon endroit = dans le cœur ;

– depuis une motivation claire et pure ;

– dans l’instant présent ;

– avec la concentration, la focalisation, et simultanément la détente, le lâcher-prise.

Cela est valable en fractale à tous les niveaux.

Lorsque nous sommes dans le Cœur, que nous agissons, pensons, recevons, offrons depuis le Cœur, tout est juste, car c’est de ce lieu que se déploie l’harmonie.

Nous voyons là l’importance, pour vivre la justesse, de se placer au bon endroit, de se connaître et de discerner ses motifs et fonctionnements. Pour prendre une image très simple, quelqu’un qui est surtout dans sa tête (le mental) est déséquilibré, de même que quelqu’un qui est mû par le ventre ou le sexe car alors ces parties imposent leurs priorités à l’ensemble de la structure. Ce qui n’est pas aligné sur le cœur crée des circuits parallèles discordants, des tensions superflues et des « fausses notes ».

Lorsqu’on demeure dans le cœur, on prend soin automatiquement de l’ensemble, puisque le rôle premier du cœur est d’offrir le rythme idéal pour favoriser la cohérence harmonique de la structure. Il faut s’en remettre au Cœur et à la Foi, à l’intérieur, et accepter que l’expérience se vit au présent, et que nous en sommes auteur, nous la façonnons en y participant par nos vibrations, actions, réactions, émotions, pensées, sentiments, paroles, etc.

Le cœur physique est à la fois un organe et un muscle : plus il travaille et mieux il travaille. Il est sans cesse dans l'exercice et dans l'adaptation, soutenant tous nos mouvements et tous nos expériences en permettant à nos corps et nos organes de s'ajuster à notre environnement et à notre réalité. Cela s’applique dans les corps subtils en fractal aussi.

DANS L’ÉTHER, L’ÉQUILIBRE TENSION/DÉTENTE

Le corps éthérique reflète notre équilibre énergétique et informe notre corps de matière par des modèles, des matrices, des treillis qu’il dessine en reflétant l’ensemble des informations de la structure disponibles à chaque instant.

Le fonctionnement énergétique optimal est une danse entre tension et détente. Nous pouvons comprendre à l’aide d’une image offerte par la physique quantique : tout est à la fois, simultanément, onde et particule, point de tension et vague de détente. Au niveau du cœur, cette danse s'opère à l'aide des deux branches du système nerveux sympathique et parasympathique, le système nerveux sympathique soutenant la tension (et déséquilibré, occasionnant l'hypertension), et le système parasympathique permettant la détente (et déséquilibré, occasionnant l'hypotension et la tendance aux malaises vagaux).

Pour favoriser la fluidité, la justesse et la liberté de notre structure, il faut libérer cette danse, lui permettre de se déployer.

Or nous vivons dans un monde stressé, pressé, où la tension est devenue une constante inconsciente ; une tension rigide, fixée et automatique. Cela se reflète dans nos corps, dans nos expressions faciales, dans nos réactions, dans nos peurs. Le système hormonal est saturé et contraint de produire des réserves de graisse (notamment abdominale) pour faire face à la demande perpétuelle de fabriquer des hormones nous aidant à soutenir ce régime insensé.

Parfois, nous comprenons que cet état est fou et faux, et nous trouvons la voie vers la détente, avec tous les corollaires inverses : envie de se replier dans une bulle, de ne plus participer à aucun jeu social et de préserver la paix à tout prix, en s’isolant.

Ces deux réponses sont polarisées et incorrectes car incomplètes, ne tenant pas compte de la réalité harmonique. Le cœur physique nous offre encore une clé de correspondance, par les troubles de la tension : hypertension, hypotension, qui révèlent qu'en amont il y a un déséquilibre. La réalité énergétique est composée de la danse, du mouvement entre ces deux états, tension et détente. Pour être vrai, opératif et puissant, tout mouvement requiert les deux états simultanément, chacun prenant tour à tour l’ascendant puis se retirant, comme nous le montre le dessin du yin/yang.

Le changement de rythme crée du stress. Nous voyons cela dans les transitions, c’est-à-dire les passages de la vie qui demandent de s’adapter à de nouvelles conditions et de nouveaux rythmes.

Un état passager de stress est normal car il aide à accompagner l’adaptation aux nouvelles conditions par un accroissement d’hormones spécifiques.

Mais quand il devient constant, le stress fausse le rythme réel harmonieux. Il est une erreur d’appréciation et une mauvaise réponse. Ici ce n’est pas la tête au sens du corps mental rationnel, qui prend le dessus sur le cœur, c’est le système nerveux (notamment via la mauvaise régulation de la sérotonine) qui fonctionne en mode prioritaire, qui « veut » donner le rythme à la place du cœur.

LES VAGUES ÉNERGÉTIQUES

Qu’est-ce que le rythme par rapport à la fréquence ? Un rythme est défini par sa qualité régulière, sa cohérence, alors que la fréquence est caractérisée par la vitesse pulsatile dans un temps donné.

Les fréquences sont représentées selon un modèle sinusoïdal, c’est-à-dire des vagues qui montent et descendent, des montagnes russes. Le rythme encadre ces montées et ces descentes dans une cohérence.

Nous le vivons dans nos vies de surface. Cela est illustré de manière outrée par le syndrome bipolaire, vécu par des personnes qui alternent moments de surexcitation et moments de grande dépression, mais nous le vivons tous à notre manière dans notre expérience personnelle.

Plusieurs réflexions me sont inspirées actuellement par cela.

Tout d’abord, une connaissance issue de l’expérience de la maternité. Le travail de l’accouchement s’opère par des pics intenses, les contractions, qui nous font expérimenter des seuils de douleur et de sensations inconnus auparavant. Ce qui m’a bien aidée lors de mes deux accouchements, afin de traverser au mieux ces vagues, c’est la certitude que le pic intense ne dure pas. Cette compréhension m’a aidée à rester présente, à accompagner le mouvement sans m’identifier à la douleur et sans basculer dans la peur. Et aide aussi à reconnaître quand la vague est passée et à savourer le repos, le répit.

Dans le chemin de l’ouverture de conscience, nous vivons aussi ce genre de vagues. Voici quelques exemples issus de mon expérience.

Tout d’abord il m’est arrivé des expériences extraordinaires qui ont mis en alerte l’ego=les programmes de survie. Suite à cela se mettent en place toute une série de résistances afin de faire redescendre la structure en vibration, de la renvoyer dans le « connu » et les anciens circuits. Cela crée de l’inconfort car on ne comprend pas pourquoi soudain on croit avoir perdu toute connexion intérieure, tout ressenti… et puis la vague passe et si le cœur est resté ouvert, l’énergie remonte et le processus reprend.

Il faut aussi comprendre la nécessité des moments d’intégration et les respecter. Lorsque nous intégrons davantage de lumière, que nous accédons à de nouvelles compréhensions, il y a un temps pour l’expérience de surface, dans le monde extérieur, et il y a un temps pour l’intégration en dedans, à l’intérieur de soi. Ce temps d’intégration est inintelligible depuis la conscience ordinaire, qui peut sentir l’épuisement mais ne comprend pas que c’est un appel intérieur au repos, au silence, au calme, afin que l’expérience vécue puisse s’inscrire en profondeur et ne reste pas une simple expérience superficielle. Pour qu’elle puisse arriver jusqu’à l’ADN, jusqu’au cœur de la structure, et modifier les programmations, il faut s’offrir ces temps de retrait.

Par ailleurs, nous constatons aussi que plus nous accédons à de hauts quotients de Lumière, de moments de Grâce et de Paix, d’ouvertures de conscience, plus nous sommes ensuite disposés à aller profondément dans le Royaume de l’Inconscient illuminer des ombres qu’il nous était jusqu’alors impossible d’affronter. Nous sommes capables de voir notre expérience dans son authenticité et ses multiples niveaux, simultanément. Et nous apprenons à discerner, à voir clairement les illusions. Arrivé à ce point, la plongée dans les Ombres n’aura même pas forcément besoin d’assise matérielle, de « décor » de surface. Ce peut être des plongées intérieures sereines et sans drame, lucides et profondément transformatrices. Ces libérations de l’Inconscient, que nous pouvons associer à des moments down de la Vague, sont ensuite suivies d’un réalignement puis d’un nouvel équilibre actualisé.

RÉACCORDER L’ÉMOTIONNEL

Au niveau émotionnel, la priorité consiste au nettoyage et à la purification des mémoires logées dans le cœur et les autres organes, afin de laisser émerger notre réel champ émotionnel disponible : une pure Source d’Amour, de Grâce, de Joie, de Réjouissance. Ce qui est appelé la Fontaine de Jouvence dans les mythes.

En discordance émotionnelle, selon les caractéristiques personnelles et les réactions émotionnelles récurrentes, un ou plusieurs organes sont particulièrement sollicités. On peut pour identifier le lien entre les organes et les émotions se référer par exemple à la médecine chinoise qui a établi de nombreuses correspondances, ou alors interroger la langue des oiseaux. Il s’agit d’identifier l’organe sollicité par le champ émotionnel déséquilibré, puis de lui permettre de s’aligner sur le rythme et la circulation cardiaque émotionnelle, afin qu’il se calque sur l’harmonie de l’ensemble de la structure et qu’il puisse ainsi retrouver sa place dans la symphonie au lieu d’être le siège réel de souffrances issues de l’illusion.

Les mémoires émotionnelles fixées sur le cœur l’étouffent. Il faut délicatement ôter les épines du cœur, desceller les barreaux, ouvrir les serrures, écarter les voiles. Il faut aider le cœur à battre pleinement.

Le Cœur du corps émotionnel est souvent contraint dans une gangue solidifiée, densifiée. Il appelle à la désagrégation de cette gangue, depuis l’intérieur. La densification empêche l’ouverture et le fonctionnement cohérent du chakra du Cœur, empêche la réalisation de son plein potentiel.

Pour purifier les mémoires émotionnelles logées dans le cœur, on peut s’appuyer sur l’archétype marial, autour des fréquences de PARDON, CONSOLATION, RÉSILIENCE, MISÉRICORDE.

L’émotion n’est pas un problème. Elle n’est ni bonne ni mauvaise dans la mesure où elle est vécue dans l’instant présent, pleinement, et délaissée ensuite.

Ce qui pose problème n’est pas de vivre et se laisser traverser par l’émotion, ni de l’accueillir comme information réactionnelle, mais de s’y identifier, de s’y attacher et d’en devenir l’esclave en la plaçant comme filtre gérant la compréhension du vécu et le comportement à adopter, ce qui finit par créer un conditionnement.

Nous sommes « gérés » par de nombreux conditionnements = circuits habituels inconscients.

Certains nous aident (ce sont des cercles vertueux) et d’autres nous plombent (cercles vicieux). Certains sont bénéfiques un temps puis on change de résonance et ils ne nous servent plus.

Il s’agit d’être prêt et d’accord pour accepter toujours ce qui nous correspond dans l’instant présent, donc repérer et délaisser les anciens circuits obsolètes, faire de l’espace pour permettre l’irruption du nouveau, de l’inconnu (ce que redoute l’ego mais ce que demande l’Âme !)

La croyance détermine l’expérience humaine. Un écheveau de croyances constitue un treillis plus ou moins fermé de conditionnements et de possibilités. L’impulsion de libération œuvre à desserrer l’étau, à percevoir les illusions et fausses bonnes réponses, à rire de soi un bon coup et à rectifier le fonctionnement intérieur. Un conditionnement est inconscient, c’est-à-dire que celui qui y est soumis ne le sait pas, ne le voit pas, ne comprend pas qu’il pourrait en être autrement.

SIMPLIFIER LE MENTAL

Au niveau du corps mental, la tête doit céder la priorité au cœur. Si on veut tout coordonner à partir de la tête, de la logique rationnelle et du contrôle, on se plante car cela ne respecte pas la réalité permettant l’harmonie.

Remettre les choses à leur place. La tête doit se soumettre au rythme de l’ensemble, et le Maître du Rythme, c’est le Cœur. La tête se met au service amoureux du cœur en lâchant prise sur les croyances, notamment sur la croyance que la vie peut être maîtrisée et harmonieuse depuis le contrôle mental. En expérimentant que le sublime, le Nouveau et le merveilleux se produisent à l’instant où on lâche les rênes, où on se laisse vivre, où on s’abandonne à la simplicité. Que l’Amour peut enfin circuler à travers nous à grands flots lorsqu’on ouvre toutes les vannes et qu’on cesse de vouloir tout comprendre, assurer, dire, faire, gérer. C’est une œuvre de Foi, d’expérimentation de la Foi dans l’expérience. Une œuvre de courage, aussi, et d’humour. D’humilité, lorsque la personne reconnaît qu’elle n’a pas toutes les données ni toutes les capacités à sa disposition depuis sa dimension limitée, et que la meilleure possibilité passe par lâcher prise de ce qui était jusqu’alors reconnu comme sûr, certain, notre belle prison connue et confortable. Les miracles se produisent hors des limites de l’espace-temps rationnel…

Comment savoir si c’est la tête ou le cœur qui mène la danse ? QUAND C’EST SIMPLE, ON EST DANS LE CŒUR. Dès que ça devient compliqué, c’est que la « tête » veut reprendre le pouvoir. Et alors elle entrave le rythme et rompt l’harmonie. La solution réside dans la conscience de l’alignement, de l’engagement intérieur à se réaligner à chaque instant, dans la Foi et la reddition au Divin en soi. La Demeure du Divin en soi, c’est le cœur, pas la tête.

La suite de cet article est à venir bientôt, elle traitera du rythme au sein d’un groupe d’Âmes.

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